Grand oiseau au corps maigre et aux fines ailes, Javier Pastore dépose en France ses petits ponts à prix d’or en juillet 2011. Un voyage de sept années plus tard, en juin 2018, l’oiseau s’envole vers d’autres cieux.
Sept années de gestes inattendus et de talent discontinu.
Sept années de tête levée et de petits ponts élancés.
Sept années de surprise insoumise.
Et sept années d’articles sur FT : des reportages à Córdoba chez lui en Argentine, des entretiens avec ses ex entraîneurs et présidents, les récits de ses oeuvres et cette fascination insatiable pour un style unique, mêlant nonchalance, audace, talent et caractère dans des formes si argentines, siciliennes, parisiennes.
Gracias flaco.
Markus
Ángel Cappa : « Pastore doit jouer avec sa propre personnalité »